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Date : 16-03-2003

King Stephen - La Ligne Verte

Mise en ligne : 9 juin 2002

Dernière modification : 28 août 2006

Texte de l'article :

Stephen King
le 21/09/47
Auteur à succès de romans d’horreur depuis 1974. Il écrit sous son nom et sous le pseudonyme de Richard Bachman.

LA LIGNE VERTE
Originellement paru en six volume.

Résumé :
Dans le bloc E, l’agitation est à son comble. Chacun à leur tour, les nouveaux arrivants font connaissance avec cette atmosphère si particulière. Entre les trois détenus, qu’ils soient innocents, coupables ou dotés de pouvoir paranormaux, entre cette étrange souris, Mister Jingles et les gardiens, ce couloir de la mort n’a pas fini de nous surprendre...

Paul Edgecombe, ancien gardien-chef d’un pénitencier dans les années 30, entreprend d’écrire ses mémoires. Il revient sur l’affaire John Caffey ’ ce grand noir au regard absent, condamné à mort pour le viol et le meurtre de deux fillettes ’ qui défraya la chronique en 1932. La ligne verte est le reflet d’un univers étouffant et brutal, où la défiance est la règle. Personne ne sort indemne de ce bâtiment coupé du monde, où cohabitent une étrange souris apprivoisée par un Cajun pyromane, le sadique Percy Wetmore avec sa matraque et Caffrey, prisonnier sans problème. Assez rapidement convaincu de l’innocence de cet homme doté e pouvoirs surnaturels, Paul fera tout pour le sauver de la chaise électrique.

« - Tu dois le sortir de là, Paul. Il faut le sortir de là ! Tenter une évasion, mentir, prendre des risques... John Caffey doit sortir de sa cellule. Janice, la femme de Paul l’a compris. Tous le savent. Cet homme est pur...

Comme l’agneau qui vient de naître, comme le Fils venu sauver les hommes. Mais la tragédie est en marche. Au bout du corridor, l’odieuse machine attend une victime. Le sacrifice doit être consommé. Alors, quand vient son tour de remonter la ligne verte, qui sauvera John Caffey ? Qui peut le sauver ?

Paul Edgecombe voudrait oublier. Oublier que, parfois, il n’existe aucune différence entre le salut et la damnation éternelle. Et, lorsqu’il cherche le sommeil, ce qu’il voit, ce sont les yeux toujours humides de John Caffey, l’homme miraculeux aux larmes éternelles... »